« Investir, c’est aussi une affaire d’émotions »
De la créativité à l’entrepreneuriat
Alain Jeanty : « Je suis graphiste créatif de formation. Après quelques années en agence, j’ai très vite lancé mon propre studio, puis cofondé une petite agence de communication. Petit à petit, nous avons gagné en crédibilité et décroché de grands clients comme L’Oréal, Mondelez, Spadel, Unilever, Kellogg’s, Bayer…
Après vingt ans de succès, mon associé a souhaité vendre. J’ai respecté cette décision et nous avons engagé un processus de cession. C’est à ce moment que j’ai rencontré Vincent Muntz, lors d’un événement de networking. Il n’était pas impliqué directement dans la vente, mais il s’est montré disponible, à l’écoute. C’est là que j’ai découvert une banque proche des indépendants, réactive et respectueuse. »
Un accompagnement qui dépasse la finance
Le lien se renforce au fil des années. « Pendant le COVID, j’ai initié les “Walking Business meetings” avec mes clients. La Banque Van Breda s’en est inspirée pour ses propres événements. J’ai aussi découvert “Van Breda THE SQUARE”, des activités pour clients vraiment inspirantes et à taille humaine. À chaque fois que j’y ai participé, j’en suis reparti avec une rencontre ou une idée nouvelle.
Même après la vente, je suis resté plusieurs années dans l’entreprise pour accompagner la transition. Puis est venue une période de pause imposée par une clause de non-concurrence. C’était agréable de lever le pied, mais aussi stressant de se détacher de la vie professionnelle et voir mes comptes diminuer. Vincent m’a proposé de réfléchir à long terme : combien voudrais-je toucher chaque mois à l’échéance pension ? Cela m’a convaincu de centraliser mes avoirs chez Van Breda. »
Les émotions, alliées ou pièges de l’investisseur
« Je n’avais jamais vraiment investi en placements bancaires. J’étais méfiant au départ. Vincent a respecté mon profil prudent et proposé un mélange de placements plus sécurisés et d’autres, plus dynamiques, ce que la banque appelle un portefeuille diversifié. Ce qui m’a marqué, c’est sa disponibilité : si je ne dors pas bien à cause d’un placement, je peux l’appeler et on ajuste l’équilibre du portefeuille.
La guerre en Ukraine, l’élection de Trump, puis certaines turbulences de marché, réveille parfois des inquiétudes. Un jour, j’ai vu vraiment mes placements baisser de manière inquiétante en une semaine. Je l’ai appelé : il a pris le temps de m’expliquer, de me rassurer, et si nécessaire, de réagir. C’est précieux, car les émotions peuvent nous pousser à des décisions impulsives. Moi, j’ai appris à prendre du recul. »
« Avec le temps, j’ai gagné en confiance. Aujourd’hui, je suis plus zen. Je sais que mes placements peuvent fluctuer, mais que tout est mis en œuvre pour limiter les pertes. J’ai même envie de tester des placements un peu plus risqués, toujours accompagné.
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Alain Jeanty
Diversifier, tester… puis recentraliser
« Avec le temps, j’ai gagné en confiance. Aujourd’hui, je suis plus zen. Je sais que mes placements peuvent fluctuer, mais que tout est mis en œuvre pour limiter les pertes. J’ai même envie de tester des placements un peu plus risqués, toujours accompagné.
Au départ, j’ai beaucoup diversifié : placements bancaires, projets personnels, et même… un projet de restauration de voitures historiques ! Un challenge gagnant dont la plus-value repartira chez Van Breda. Progressivement, je choisis de recentraliser : je vois que ça fonctionne. Et j’apprécie la transparence de la banque sur les frais et la fiscalité, ce qui n’a pas toujours été le cas ailleurs. »
Une relation humaine avant tout
« Je préfère parler de “relation” plutôt que de “produits”. J’ai déjà recommandé la Banque Van Breda à plusieurs entrepreneurs. Pas par intérêt personnel, mais parce que je crois dans leur approche humaine et mon réseau continue de grandir en qualité avec la Banque.
Récemment, je me suis lancé dans un dossier qui est important pour moi : la planification successorale. On vit actuellement tellement d’incertitudes qu’il vaut mieux anticiper. Avec mon épouse, nous travaillons depuis quelque temps avec Van Breda Advisory. C’est du sur-mesure, Valéry Dehoux est à l’écoute de nos besoins. Et lorsque j’ai voulu donner un coup de pouce à mes enfants pour leurs projets, la banque a trouvé une solution rapide et simple. Ce n’était pas dans son intérêt direct, mais dans le mien. C’est ça, une vraie relation de confiance. »
Et demain ?
« Je suis toujours actif et j’enchaîne aujourd’hui les missions de longue durée dans plusieurs entreprises. Je ne m’ennuie pas ! et je n’exclus pas de relancer un projet entrepreneurial, car il y a de nouveaux secteurs qui m’inspirent. Si ça arrive, la première chose que je ferai sera d’appeler Vincent pour voir comment construire ce projet ensemble.
Finalement, investir, ce n’est pas qu’une affaire de chiffres. C’est aussi gérer ses émotions, savoir s’entourer et oser faire confiance. Grâce à la Banque Van Breda, je me sens accompagné, compris… et prêt à envisager l’avenir avec sérénité. »